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Définition du steampunk

3 participants

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Définition du steampunk Empty Définition du steampunk

Message par Ekwal Ven 23 Avr - 4:21

Définition Wikipédia:

Le steampunk est un genre littéraire. C'est à l'origine un sous-genre de la science-fiction uchronique, dont l'intitulé a été forgé par allusion au cyberpunk par l'auteur K.W. Jeter à titre de boutade[1]. L'expression steampunk, qui signifie littéralement punk à vapeur, souvent traduite par futur à vapeur, est un terme inventé pour qualifier un genre de la littérature de science-fiction né à la fin du XXe siècle, dont l'action se déroule dans l'atmosphère de la société industrielle du XIXe siècle. Le terme fait référence à l'utilisation massive des machines à vapeur au début de la révolution industrielle puis à l'époque victorienne. Mais le style steampunk quitta rapidement la seule sphère de la littérature pour s'étendre à d'autres domaines de création et d'expression et devenir un fandom autonome.

Définition du steampunk Armed_10

Histoire : les origines littéraires du genre

L'origine remonte aux années 1980, par un hommage à l'époque qui suit la Révolution industrielle dans les délires littéraires du trio d'amis K.W. Jeter, Tim Powers et James Blaylock[2]. Jeter écrit Morlock Night[note 1] (1979) et Machines infernales (1987), Powers rédige Les Voies d'Anubis (1983) et Le Poids de son regard (1989) tandis que Blaylock publie Homunculus (1986) et Le Temps fugitif (1992). Hormis Le Poids de son regard qui est un texte plus sombre, ce sont de véritables hommages (lucides et souvent cruels), aussi frénétiques qu'humoristiques, à une époque révolue, qui marquait une révolution non seulement dans l'économie mais aussi dans les mentalités.

Dans les années 1990, le genre fait de nombreux émules. Parmi les écrivains de langue anglaise qui s'illustrent dans le steampunk figurent William Gibson et Bruce Sterling (La Machine à différences, 1990, qui met en scène les lointains pionniers de l'informatique à l'ère victorienne, Charles Babbage et Ada Lovelace), Brian Stableford (trilogie des Loups-garous de Londres, 1990-1994, et, plus tard, L'Extase des vampires, 1996), Kim Newman (Anno Dracula, 1992, et ses suites), Mark Frost (La Liste des sept, 1993), Paul Di Filippo (La Trilogie Steampunk, 1995), Stephen Baxter (Les Vaisseaux du temps, 1995), Christopher Priest (Le Prestige, 1995) ou encore Robert Charles Wilson (Darwinia, 1998). La trilogie À la croisée des mondes de Phillip Pullman a également de nombreux accents steampunk, bien que l'élément « machine à vapeur » n'y soit pas présent.
Jules Verne, figure tutélaire du steampunk dont le personnage de Robur le Conquérant fait figure de proto-héros du genre

Même si Jules Verne ou Albert Robida font figures d'ancêtres tutélaires du genre, les auteurs français ne sont venus que plus tardivement au steampunk comme le note l’anthologie Futurs antérieurs (1999) de Daniel Riche. Cette entrée tardive se manifeste par une floraison d'œuvres telles que Les Grandes profondeurs (1991) et Bouvard, Pécuchet et les savants fous (2000) de René Réouven, Les Inhumains (1992) de Serge Brussolo, les deux opus de la Bibliothèque noire (1998-99) d'Hervé Jubert, L'Équilibre des paradoxes (1999) de Michel Pagel, Confessions d'un automate mangeur d'opium (1999) de Fabrice Colin et Mathieu Gaborit, La Cité entre les mondes (2000) de Francis Valéry, La Lune seule le sait (2000) et Pandemonium (2001) de Johan Heliot, L'Instinct de l'équarisseur (2002) de Thomas Day ou La Ligue des héros (2002) de Xavier Mauméjean. Parmi les œuvres fondatrices françaises « historiques » du genre, on peut sans doute citer aussi, en remontant au début du XXe siécle, les anticipations militaires d'Émile Driant alias « Capitaine Danrit ».

Le genre se raccroche à une longue tradition littéraire qui joue sur les rapports de la fiction et de la machine. Jules Verne, H.G. Wells, Mark Twain et Mary Shelley développaient déjà les thèmes de l'artifice ou de l'automate. Le dispositif littéraire du récit fantastique se reflète dans les ruses et les pièges d'inquiétantes mécaniques échappant au contrôle de leurs inventeurs[3]. C'est sur la scène des théâtres que la machine est entrée en littérature: le dramaturge Pierre Corneille, en 1660, monte au château du Neubourg la première pièce à machines, La Toison d'or. Dès les origines, la machinerie des théâtres fut perçue comme une métaphore de cet autre engin qu'est l'intrigue, comme en témoigne l'expression deus ex machina. Le steampunk systématise et industrialise la puissance littéraire de la machine et de ses représentations[4].

Rétrospectivement, la critique s'intéresse à des titres publiés avant 1979 qui répondent aux critères de définition du steampunk et qu'elle a baptisé du terme générique de proto-steampunk. Le proto-steampunk comporte des œuvres marquantes comme Le Voyage de Simon Morley (1970) et sa suite tardive Le Balancier du temps (1995) de Jack Finney ; la trilogie uchronique qui met en scène le personnage d’Oswald Bastaple (1971-81) de Michael Moorcock ; Frankenstein délivré (1973) de Brian Aldiss ; les extravagances de Philip José Farmer comme Chacun son tour (1973) ou Le Saigneur de la jungle (1974) ; La Machine à explorer l'espace (1976) de Christopher Priest ; voire Fata Morgana (1977) de William Kotzwinkle, influencé par le polar.

Les amateurs de Bande dessinée, eux, avaient déjà découvert Le Démon des glaces (1974) de Tardi ou le méconnu Captain Hard (1989) de Walter Fahrer.

Le courant steampunk a donné naissance à deux catégories d’œuvres : celles qui créent leur propre univers en obéissant aux contraintes fixées par les pionniers du genre, Powers, Blaylock, Gibson & Sterling et Stableford, et celles qui se veulent systématiquement référentielles.

Ces dernières exploitent l'environnement littéraire et culturel de l'époque victorienne pour mettre en scène des personnalités réelles ou imaginaires (Sherlock Holmes, Frankenstein, Dracula et le Dr Jekyll, mais aussi Jack l'éventreur, Charles Babbage ou Ada Lovelace), ou bien s'inspirent de romans de l'époque de Wells, Verne ou Doyle. Le fameux univers généalogique Wold Newton, rassemblant tous les grands héros de la littérature populaire, inventé par Philip José Farmer, n'est pas étranger à cet engouement. Ce dernier sous-genre est illustré notamment par la BD La Ligue des gentlemen extraordinaires d'Alan Moore, traduite et portée à l'écran depuis, mais aussi par des auteurs comme Kim Newman, Stephen Baxter, René Réouven ou Johan Heliot.

Ces œuvres se caractérisent par un intertexte foisonnant[réf. nécessaire]. Le personnage de M, de la Ligue des gentlemen extraordinaires, évoque d'abord James Bond mais se révèle être un autre M plus sinistre en hommage à Fritz Lang. « Appelez-moi Ishmael », se présente le second du capitaine Nemo en accueillant l'équipe des gentlemen extraordinaires à bord du Nautilus[note 2]« Il manque un portrait sur votre mur » fait-on remarquer à Dorian Gray[note 3]. Le personnage de Hyde[note 4] est de son côté retrouvé dans la rue Morgue[note 5].

De nombreux textes steampunk n'ont pas été traduits en français, à commencer par la pièce fondatrice, Morlock Night de K.W. Jeter, Black as the Pit, from Pole to Pole (1977) de Howard Waldrop et Steven Utley, The Hollow Earth (1990) de Rudy Rucker, Anti-Ice (1993) de Stephen Baxter ou l'irrespectueux Zeppelins West (2001) de Joe R. Lansdale.


Caractéristiques et esthétique du Steampunk


A l'origine, le Steampunk est un genre littéraire dont Jules Verne, Albert Robida ou H.G. Wells fournissent les caractéristiques et l'esthétique de l'univers d'expression à travers leurs romans ou les adaptations cinématographies qui en ont été faites : 20.000 lieues sous les mers de Richard Fleischer (1954), Aventures extraordinaires de Vynalez Zkazy et Karel Zeman(1957) ou La Machine à explorer le temps de George Pal (1960). L'univers des époques victorienne et édouardienne (Édouard VII ayant été qualifié de last victorian king par l'historien britannique Christopher Hibbert) d'avant la Première Guerre mondiale reste l'un des décors favoris du genre.

Par extension sont assimilés au genre du Steampunk les récits qui se déroulent soit dans le futur, soit dans un présent uchronique alternatif – où apparaissent des personnages historiques ayant réellement existé –, quand leur décor rappelle le design de l'environnement industriel du XIXe siècle ou que la société qu'ils décrivent ressemble à celle, socialement très rigide et cloisonnée, comme dans Les Chemins de l'espace de Colin Greenland (1993).

Sous-genre de la SF, les œuvres steampunks relèvent aussi de l'aventure et du roman policier - voire du western comme Wild, Wild West. Pour les distinguer du récit où interviennent des éléments relevant du Fantastique, les critiques utilisent le terme de Gaslight Fantasy [5], genre dans lequel s'illustrent notamment Anne Rice et le Français Fabrice Bourland.[6]. Le steampunk recoupe fréquemment d'autres genres référentiels de la SF comme le voyage temporel, l' uchronie (décalage temporel et histoire alternative) et les univers parallèles. Cet aspect uchronique canonique a valu aux œuvres de SF steampunks les labels de « chroniques du futur antérieur » ou de « rétrofutur » chez les fans du genre.

Une des principales différences entre le steampunk et la science-fiction des auteurs d'anticipation du XIXe siècle comme Albert Robida - qualifiée de proto-steampunk par les puristes -réside dans la présence d'éléments anachroniques plus tardifs comme les ordinateurs ou les manipulations génétiques qui n'existaient évidemment pas à l'époque [7]. Le Steampunk se distingue aussi par son humour, bien des auteurs - K.W. Jeter, qui porta le genre sur ses fonds baptismaux, en tête - considérant le genre comme un jeu littéraire font tout en clins d'œil aux pères de la science-fiction, du roman fantastique et du roman d' aventures extraordinaires - pour reprendre le titre de la fabuleuse collection des œuvres de Jules Verne.

Esthétique : le design industriel 1900 et l'inspiration Belle Époque



En un raccourci caricatural, on pourrait dire que le steampunk part du postulat que dans un univers où les machines à vapeur auraient progressé au-delà de ce que nous connaissons, les hommes n'auraient pas éprouvé le besoin d'inventer les moteurs à combustion interne. L'esthétique de cette civilisation uchronique est très différente de la nôtre, puisque l'absence de pétrole entraîne celle des matières plastiques ainsi qu'un retard dans le développement de l'électricité et de l'informatique, ou leur absence pure et simple. Le décor s'inspire de l’architecture industrielle de la fin du XIXe siècle. L'industrie du charbon étant très développée, en parallèle avec celle de la métallurgie, le fer puddlé y tient lieu de matière première principale. De même, l'esthétique est souvent associée aux boiseries sombres et au laiton. Les engrenages complexes ou simplement décoratifs sont, eux aussi, souvent employés [note 6].

L'allure vestimentaire est un mélange du siècle victorien et d'accessoires divers. Elle incorpore des éléments d'avant et après les deux guerres mondiales. L'esthétique vestimentaire steampunk se rapproche de la mode gothique, elle aussi d'inspiration victorienne.

Tandis que l'ère de l'électronique tend vers la miniaturisation, l'élément esthétique fondamental du steampunk est son gigantisme. Cette technologie, délibérément bloquée au stade de la machine à vapeur, produit des constructions démesurées, complexes extravagants de tuyauteries actionnées par des leviers et des claviers aussi nombreux que compliqués. Les véhicules à vapeur semblent souvent lourds et difficilement maniables, nécessitant une très forte dépense d'énergie pour un rendement mécanique faible. Le héros classique dans ce genre d'univers est le mécanicien de génie.

Toutefois certains[réf. nécessaire] univers steampunk semblent posséder une avancée technologique sur l'époque contemporaine. C'est le cas des « greffes mécaniques » dans l'animé Fullmetal alchemist ou dans des films comme Wild Wild West. La mécanique y est aussi mieux développée (l'araignée mécanique de Wild Wild West), tout comme les automates à vapeur.


Sherlock Holmes et le steampunk


Figure emblématique et icône mondiale de la littérature victorienne, le personnage créé par Sir Arthur Conan Doyle fut récupéré par les auteurs de la littérature steampunk. Au sein du courant référentiel du genre, la SF holmesienne compte actuellement un important corpus d'œuvres dont: Sherlock Holmes' War of the Worlds des Wellman père & fils,Exit Sherlock Holmes de Robert Lee Hall, Le dossier Holmes-Dracula de Fred Saberhagen, le Bestiaire de Sherlock Holmes de René Réouven ou la polymorphe et remarquable anthologie Gaslight Grimoire parmi bien d'autres, essentiellement en langue anglaise, et, pour la plupart, inédites en français [8].
Steampunk et fiction post-apocalyptique [modifier]

Le steampunk fait occasionnellement des emprunts esthétiques aux univers de fiction dits post-apocalyptiques, comme dans la série de jeux vidéo Fallout, notamment à cause de la technologie qui semble être rétrograde, grossière et de récupération. Un autre exemple de ce télescopage entre ces deux genres est donné par le roman La Nuit des Triffides de John Wyndham. Citons le cycle Omale (3 romans) du Français Laurent Genefort, décrivant un monde steampunk de guerre interminable entre Humains et extra-terrestres[note 7].

Steampunk et exotisme

Le XIXe siècle, siècle de références esthétiques du Steampunk, fut riche de très nombreuses explorations géographiques, ethnologiques, scientifiques et archéologiques. La nouvelle vision du monde qui en résultat fut à l'origine de différents courants artistiques d'inspiration exotique comme l'orientalisme. Le steampunk fait quelques clins d'œil à cet exotisme pompier - dont les Expositions coloniales marquèrent l'apogée -comme l'illustrent la bande dessinée Les Corsaires d'Alcibiade, d'inspiration vernienne, ou certaines[réf. nécessaire] vignettes de Hauteville House.
Les domaines d'expression du genre steampunk [modifier]

Dès les années 1990, grâce à la féconde imagination des fans du genre, le steampunk a largement débordé le cadre de la seule création romanesque pour s'étendre à une multitude d'autres domaines artistiques.


Steampunk Graphique:

Définition du steampunk Ghostb10
Définition du steampunk Hh10
Définition du steampunk Steamp10
Définition du steampunk Steamp11


Jeux de rôles, reconstitutions historiques et Happenings
Une reconstitution victorienne contemporaine : le photographe s'est soucié de reproduire la couleur sépia d'époque.

La reconstitution historique - le reenactment en anglais - est un hobby extrêmement populaire en Grande-Bretagne et aux États-Unis.[9] Sorte de jeu de rôle grandeur nature, il a pris son essor en France grâce aux passionnés d'uniformologie napoléonienne [10]. Sensus stricto, on peut difficilement parler de reconstitution historique ici puisque le steampunk est en pleine uchronie. Le jeu consiste en un travestissement à la mode victorienne tout en s'équipant d'accessoires (armes, « instruments scientifiques » (sic), etc.) fantaisistes de design 1900.

Dans le domaine du jeu de rôle sur table (forme première du jeu de rôle), citons Space 1889 comme un pionnier du genre (l'action se déroulait à la fin d'un XIXe siècle où l'on aurait maîtrisé le voyage spatial).

Le jeu de rôle "Les Royaumes d'Acier" (Iron Kingdoms en V.O.) est orienté vers l'ambiance Steampunk, avec un monde où la technologie vapeur cotoie la magie dans un univers Med-fan pour le système D20 (éditeur : Privateer Press)

Dans le domaine du jeu de société, citons 221 B. Baker Street (Éd. Gibsons Games 1991 - Habourdin International pour l'édition française), à vocation « policière » dans l'esprit steamy[réf. nécessaire].

Le jeu Dungeon Twister - de conception française, mais existant aussi en version anglophone - mêle le genre fantastique et steampunk. Le but du jeu est de traverser un labyrinthe dont les salles peuvent pivoter, grâce à un mécanisme dans chacune d'elles. Les salles sont connectées par paires, ce qui permet au joueur de faire 'twister' une salle depuis sa salle jumelle. Outre les personnages et objets classiques du fantastique (magicien, troll, bâton de boule de feu, etc.), il en est de style "steampunk" : le méchanork (capable de twister les salles dans le sens qu'il désire), la scie à vapeur, le golem (dont la graphie tient plus du robot 'frankensteinien' que du golem de la cabbale).

Le jeu de batailles avec figurines Warmachine édité par Privateer Press place les joueurs à la tête d'armées dans le monde des Royaumes d'Acier.
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Message par Remi le Long Ven 23 Avr - 5:22

un type s'est fait une maison steampunk (ca vaut l'coup d'oeil !)

http://steampunkworkshop.com/visit-steampunked-home

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Message par YuKan Mer 30 Mar - 0:15

Ah ouai excellent, il a bien tripé le gars.
Par contre à mon avis doit faloir faire un paqué de brocante, être un adepte du bricolage et surement avoir un porte monnaie bien rempli ^^
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