U.E.C. Colony

Un jour timide se lève sur la Terre. Le soleil perce difficilement la couche de brume épaisse qui émane de Néo-City 23, autrefois appelée "Floride". Les rues s'éveillent, se peuplant rapidement de nuées de travailleurs. Le vacarme des Work-trains se mélange aux allées et venues incessantes des transporteurs spatiaux de l'astroport tout proche. Une gigantesque tour de la Compagnie des Terres Unies surplombe ce capharnaüm urbain. La Compagnie gère 70% des colonies solaire et pas loin de 55% des mondes connus habités, son influence sur l'avenir de l'humanité est écrasante. Dans l'un des plus spacieux amphithéâtre du building une réunion viens de commencer. Des centaines de personnes sont présentes, pilotes, militaires, scientifiques, ingénieurs et même civils, écoutant attentivement les paroles de l'homme au pupitre.

-Mesdames, messieurs, vous vus êtes tous portés volontaire pour l’une des missions les plus ambitieuses de l’U.E.C. Vous avez été testés et choisi pour composer la caravane la plus importante jamais financée par la Compagnie et votre destination est l’une des plus lointaine jamais envisagée: Eden Prime. Ce monde luxuriant vous offrira un cadre de vie et de recherche unique, mais la route est longue et votre trajectoire incertaine.
Gagner votre paradis ne sera pas chose aisée. La caravane sera guidée par l’U.E.C-Colony, un croiseur de guerre armé, qui servira de base mobile pour garantir la sécurité des voyageurs. 125 chasseurs seront embarqués à son bord et une frégate médicale complétera l’escorte. La caravane des colons est elle-même composée d’environ 200 navires de lignes de différents tonnages. Votre voyage durera, sans d’éventuelles complications, 2ans et 8 mois.
La Compagnie tient à ce que la caravane soit autonome, à votre arrivée, les survivants constituerons la première civilisation d’Eden Prime et la façon dont vous vous organiserez pendant ces trois années deviendra très certainement votre ligne de conduite. L’U.E.C. sais qu’il sera impossible de diriger la caravane à de telles distances, nous préférons donc vous laisser toute les libertés en échange d’une exclusivité dans les accords diplomatiques et commerciaux que nous entretiendrons avec Eden Prime.
Vous avez été choisi comme étant les futur citoyens du plus beau monde jamais habité par l’homme et nous espérons que vous saurez vous montrer digne de cette mission et que vous réalisez le risque pris par l’U.E.C. en vous confiant l’avenir d’une telle flotte et d’une telle planète.

L’assemblée commence à chuchoter, à remuer. Ces dernières paroles ont provoqués des sentiments de fierté et d’impatience, mais aussi d’appréhension et de doute. Participer activement à la création d’un civilisation ne peut laisser de marbre. Et bien que les futur colons et caravaniers aient tous lus et relus l’épais dossier d’inscription, la mission exprimée en ces termes prenait un sens nouveau.
Soudain un coup de feu retentit dans l’assemblée. Le bruit assourdissant se répercute sur tout les murs de la pièce tandis que le conférencier s’écroule au sol dans une flaque de sang…Quelque part dans la foule quelqu’un crie:
- A mort l’U.E.C. et sa dictature!


Comment va réagir l‘assemblée?

1) La panique gagne l’assemblée qui tente de fuir

2) Une partie des militaires présent tente de maîtriser le tireur au risque de blesser la foule.

3) D’autres membres de l’assemblée profitent de cet appel et sortent les armes pour prendre en otage l’assemblée des colons.

4) Un groupe de médecins brave les mouvements de foule pour porter secours au conférencier dans le but de le sauver.

5) Quelques membres de l’assistance, armés, tentent de tirer sur le terroriste au travers de la foule.

Je pense que les militaires encerclent le périmètre et contrôlent les sorties, ce qui leur permet d'empêcher le tireur de sortir et de pouvoir le maîtriser. Le mouvement de foule n'aide pas, mais ces militaires sont surentraînés !

J'ai voté panique.
Au vu du publique de la conférence...Si les quelques militaires ouvrent le feu, la panique redouble...!

Ben en fait je pensais que les deux se déroulaient en même temps... Il est improbable que les militaires ne tentent pas d'arrêter le tireur, mais il est vrai que la foule qui panique et fuit peut les en empêcher...

J'ai changé mon vote, étant donné que la foule est constituée de tous types, je ne m'attends pas à ce qu'elle reste stoïque face à cette alerte ! Les militaires vont donc y aller plus doucement, au risque de laisser l'individu s'échapper :/

là vous vous basé sur un mouvement de foule général...
là on parle d'élu vers une destination, c'es t pas la ménagère du coin et puis le "chef" a était abatut quoi!!
moi je pense plutot intervention militaire

Moi je pense que même si le président de la salle s'est fait abattre, la plupart des gens tentent de fuir ( il y a un meurtrier dans la salle, il faut quand même penser à sauver sa peau, ce qui est une raison tout à fait honorable). Je pense que le risque de blesser quelqu'un est bien trop important, alors l'utilisation immédiate des armes pour neutraliser l'ennemi me semblerait être un choix risqué de la part des militaires. Je vote donc pour la première solution immédiatement suivie de la deuxième.

Peu importe la foule, élu ou pas, quand y a des coups de feu les gens se baisse, cri et tnetent de fuir.
Nos instincts reprennent le dessus.
Et puis ya beaucoup de Nerds je pense. C'est pas rambo les mecs !

je pensais plus au faits que même si y'en as qui cri,
c'est pas une foule landa "coucou président kennedi"
mais plus des gens qui ont de l'entrainement, en plus d'ètre encadrer par un
corps de sécurité.sinon charlwet il me semble que c'est un seul choix, pas de "en deuxième"

effectivement, la majorité des gents seront paniqués mais même si il n'y a pas de Rambo, certain, sont quand même sur-entrainés et sont capables d'abattre le tireur et de calmer la foule . si les portes restent ouvertes, la claustrophobie peut être évitée, de toute manière, le tireur est mort. si il y en a d'autres, leur tour est proche... les militaires qui escortait les puissants et qui assuraient la sécurités de la salle étaient sur leurs gardes.

La foule désorganisée essaye de fuir l'amphithéâtre. La panique gagne l'assemblée qui se rue vers les rares sorties et se heurtent aux agents de sécurités tentant de se déployer à l'intérieur. Les nombreux militaires et pilotes présents cherchent un moyen de repérer et de stopper le terroriste, mais la chose est difficile dans cette marée humaine. D'autres coups de feu rugissent soulevant des cris de paniques. Impossible de savoir qui à tiré. Quelques secondes plus tard, une assourdissante explosion fait voler la pièce en éclats. Les vitres se disloquent faisant tomber une pluie de verre sur les futurs colons. Une partie des hommes et des femmes présents ont été éjecté vers l'extérieur, chutant vers le niveau 0 de la ville, quelques centaines d'étages plus bas. Des morceaux de corps calcinés retombent sur les survivants choqués, tétanisés, hurlant leur incompréhension ou leur douleur. Les secours finissent tout de même par arriver, enfin, et chargent les nombreux blessés sur des brancards. Les sirènes d'alarmes de la tour se mélangent à celles de l'astroport. Les véhicules d'intervention se massent autour du building. La fumée, les flammes, la douleur accompagnent les futur colons jusque sur leur lit d'hôpital...

Trois semaine plus tard. J-4 avant le lancement de la flotte.
Les médias ont beaucoup parlé de l'attentat. Non revendiqué celui-ci à été attribué à des dissidents politiques cherchant à déstabiliser la légitime puissance de l'U.E.C. Le lancement à été repoussé d'une semaine et l'échéance touche à sa fin. Il a fallut réorganiser une énorme quantité de protocoles. La surveillance à été doublée et 100 chasseurs supplémentaire ont été mobilisés pour permettre à l'UEC Colony d'atteindre Eden Prime. Il à fallu également recruter à la hâte de nouveaux colons, en remplacement des morts et des nombreux désistements survenus aux suites de « l'accident ». L'enquête piétine et il est probable qu'aucun coupable véritable n'aura été arrêté avant que la flotte n'atteigne son but. Les nouveaux colons ont été formés rapidement et seul l'avenir pourra nous révéler si l'aventure valait la peine d'être entreprise. Le départ approche inexorablement, plus de désistement possible, pas de retour en arrière. Bientôt vous serez projeté vers l'avenir à une vitesse quasi luminique sans autres bagage que le doute et l'inconnu.
Demain, et jusqu'au lancement, vous serez obligés de prendre place dans l'un des navires de la flotte afin de vous acclimater aux conditions de vie à bord. Ce soir est votre dernier soir sur terre, le dernier avec une atmosphère et une pesanteur naturelle avant presque trois ans... Un discours de départ et de nombreuses fêtes sont organisées.

Comment se déroulent ces évènements?

1)Un discours austère est prononcé en la mémoire des morts survenus bien avant le lancement, insistant sur le bien fondé de la mission. Les fêtes qui suivent sont sobres et se terminent tôt.

2)Un discours enthousiaste est prononcé réconfortant les futurs colons sur l'aspect symbolique et magistral de leur mission. Les fêtes qui suivent sont belles et pleine de joies.

3)Pendant le discours un autre attentat survient visant une nouvelle fois les représentants de l'U.E.C. Les fêtes sont annulées et les colons sont dirigés sous escorte à bord des vaisseaux.

4)Un discours solennel est prononcé. Plein de paroles magistrale sur l'aspect héroïque, voir sacré, de la mission. Les fêtes sont en fait une série de cérémonies solennelles visant à magnifier les colons.

5)Un discours médiatique et politique est prononcé, insistant lourdement sur les enjeux économiques de la mission. L'U.E.C. est mise en avant et les fêtes ressemblent en réalité à des « vitrines » publicitaires dont les colons sont les acteurs passifs.

je vote la deux il faut eviter le suicide des colon qui partent pour toujours sa peut etre embettant^^ donc joie =réconfort

je pense en effets qu'il faut effectuer un discourt qui ravive la flamme de nos porteur d'espoir!
les laisser partir dans le doute ne fera qu'accroître leurs peurs
aux sein d'un équipage fais de remplaçant de dernière minute, et de paranoïaque
qui penserons leur voyage infiltré et peut être saboté.

Il faut donc les divertir !!! Leur regonfler le morale !
Et quoi de mieux qu'une fête et un discoure plein d'espoir!!


toutefois des rumeurs parlent d'un nouvel attentat, et des mauvaises langues d'un coup de pub...
Mais le plus importants, je vous le dis, c'est le morale de nos colons.

Je suis d'accord aveC Dominique et Annros pour un discours qui redonne de l'espoir et du courage, mais derrière la joie des festivités je pense que les futurs colons sont terrorisés par l'attentat et comme ils n'ont pas retrouvés les terroristes... d'autant plus que quelqu'un a parlé d'une dictature ce qui peut semer le doute chez certains. Je pense que la soirée s'est très bien passé vu de l'extérieur mais que les colons redoutent une nouvelle catastrophe durant leur long périple.

mais du coup, quel rapport avec les cérémonies solennelles
visant a magnifier les colons?

(C'est moi qui ai répondu ça, désolé j'avais pas pris le temps d'argumenter)

Je trouve qu'un discours trop enthousiaste serait plutôt déplacé, la cérémonie solennelles visant à magnifier les colons oeuvre dans un but plutôt similaire et ne risque pas d'outrer l'opinion publique .

je trouve que ça donne un cotée sectaire, tous en tauje a dire qu'ils sont les
plus beau les plus pure (alors que y'a presque la moitier qui viennent de
plopper genre" auuu puutaiinn!!! toi et toi vous faites quelque chose ces 3
prochaines années?)

euh sa joue plus?

bah disons que le meuj a peut-être pas super trop le temps...
sois patient ^^

Je crois que le mieux c'est de donner au départ des colons une symbolique de "voyage purgatoire pour quitter les enfer et aller au paradis". Je crois que c'est le discourt politique montrant l'importance du projet de colonisation qui montre le mieux le départ d'une terre corrompue par les politiciens, l'armée et par les terroristes. Bien sur ce sont des terriens qui voyagent et donc ils s'embarquent dans une grande illusion.