Pavillon Noir, à feu et à sang! Journaux de bord
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Pavillon Noir, à feu et à sang! Journaux de bord
par Ekwal Lun 20 Déc - 8:36
J'aimerai proposer aux joueurs de poster des extrait de leur hypothétique journaux de voyage (oui je sais que y'en a qui savent pas lire et écrire, ce n'est que pour faire partager un peu vos aventures et votre ressenti!^^ bande de faignants...).
Pas besoin de vous étendre forcément (mais vous avez le droit hein!), je me contenterai pour ma part de rédiger le journal du navire d'une façon très pragmatique: chiffres, routes, et éléments notables, je compte donc sur vous pour faire partager l'ambiance, votre ressenti etc, même si vous répétez des choses déjà dites par d'autres...je pense que ça peut être chouette si tout le monde joue le jeu.
Merci d'avance,
Votre dévoué MJ
Journal de Bord
27 Novembre 1679
Départ de "L'Aventureuse", Goellette Franche parti du port de Plymouth Le 27 Novembre 1679 et faisant voile vers les Iles sous le vent, dans les Caraibes. Navigant sous pavillon Noir et sans lettre de marque,elle est armé pour la course de 2 fois 6 pièces de 12 en bordée et d'une pièce de 18 en chasse. Gréée à la Françaises d'une voile Aurique en Artimon, partent à son bord 80 hommes valides, tous matelots accomplis ou mousses. La capitainerie se compose de 5 officiers et de 8 sous-officiers, enseignes et aspirants. Partent également un maître calfat, un artisan voilier, un coq et une Médecin titrée officier-chirurgien.
11 Décembre 1679
Suite à la décision de l'équipage, un Brick Hollandais "Wafelen", Négrier et inférieur en homme et en canon à été pris d'assaut et abordé. 21 Valeureux marins ont été repris par la mer, le reste des blessés à été pris en charge par le chirurgien de bord. L'équipage ne possède aucun lâche, tout le monde s'est bien battu et le Brick à été offert aux esclaves libérés après avoir été dépossédé de 60 000 pièces de huit constituant actuellement un butin à bord de 65 612 P8. 7 Nègres libérés ont glorieusement embrassé leur liberté nouvelle et ont rejoint l'équipage, ce fut le cas également de 4 matelot hollandais qui ont été eux aussi consignés dans le registre.
Pas besoin de vous étendre forcément (mais vous avez le droit hein!), je me contenterai pour ma part de rédiger le journal du navire d'une façon très pragmatique: chiffres, routes, et éléments notables, je compte donc sur vous pour faire partager l'ambiance, votre ressenti etc, même si vous répétez des choses déjà dites par d'autres...je pense que ça peut être chouette si tout le monde joue le jeu.
Merci d'avance,
Votre dévoué MJ
Journal de Bord
27 Novembre 1679
Départ de "L'Aventureuse", Goellette Franche parti du port de Plymouth Le 27 Novembre 1679 et faisant voile vers les Iles sous le vent, dans les Caraibes. Navigant sous pavillon Noir et sans lettre de marque,elle est armé pour la course de 2 fois 6 pièces de 12 en bordée et d'une pièce de 18 en chasse. Gréée à la Françaises d'une voile Aurique en Artimon, partent à son bord 80 hommes valides, tous matelots accomplis ou mousses. La capitainerie se compose de 5 officiers et de 8 sous-officiers, enseignes et aspirants. Partent également un maître calfat, un artisan voilier, un coq et une Médecin titrée officier-chirurgien.
11 Décembre 1679
Suite à la décision de l'équipage, un Brick Hollandais "Wafelen", Négrier et inférieur en homme et en canon à été pris d'assaut et abordé. 21 Valeureux marins ont été repris par la mer, le reste des blessés à été pris en charge par le chirurgien de bord. L'équipage ne possède aucun lâche, tout le monde s'est bien battu et le Brick à été offert aux esclaves libérés après avoir été dépossédé de 60 000 pièces de huit constituant actuellement un butin à bord de 65 612 P8. 7 Nègres libérés ont glorieusement embrassé leur liberté nouvelle et ont rejoint l'équipage, ce fut le cas également de 4 matelot hollandais qui ont été eux aussi consignés dans le registre.
Dernière édition par Ekwal le Lun 20 Déc - 10:27, édité 1 fois
Ekwal- Admin
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Re: Pavillon Noir, à feu et à sang! Journaux de bord
par Remi le Long Lun 20 Déc - 9:56
12 décembre 1679
Hier j'ai perdu une couille.
On est allez au feu avec les gars et je dois dire qu'en duel avec les canons d'en face j'm'en suis plutôt mal tiré. Avec mes gars on était au front, prévu pour la 2eme vague on s'tenait prêt à sauter sur le Brick hollandais. J'avais pris l'Breton, l'Espagnol, Messire, Esgourde et Galurin. Les canons des esclavagistes avaient une belle allonge et ils ont commencé à nous asmater. Chiasse ! Tout à voler en éclat, du diable si je sais ce qui m'a percuté le bas ventre. Me suis retrouvé par terre, les quatre fers en l'air avec l'envie de m'jeter à la mer pourvu que la douleur s'arrête. J'ai fini par me relever, j'ai gueulé quelques ordres et avec l'aide de l'Espagnol chuis aller vers l'arrière. J'commencai à reprendre du poil de la bête (ou du moins j'essayai que les autres le voit comme tel) quand une balle m'a atteint près de l'épaule. Chienne de Vie !
C'en était trop pour une seule journée alors j'ai décidé d'aller à l'infirmerie. Tout seul, sur mes deux jambes, comme un homme ! Un homme qu'aurait plus qu'une couille...
Pute Borgne !
Elle me manquera bien, Dieu m'est témoin qu' j'en faisais un usage quotidien !
Hier j'ai perdu une couille.
On est allez au feu avec les gars et je dois dire qu'en duel avec les canons d'en face j'm'en suis plutôt mal tiré. Avec mes gars on était au front, prévu pour la 2eme vague on s'tenait prêt à sauter sur le Brick hollandais. J'avais pris l'Breton, l'Espagnol, Messire, Esgourde et Galurin. Les canons des esclavagistes avaient une belle allonge et ils ont commencé à nous asmater. Chiasse ! Tout à voler en éclat, du diable si je sais ce qui m'a percuté le bas ventre. Me suis retrouvé par terre, les quatre fers en l'air avec l'envie de m'jeter à la mer pourvu que la douleur s'arrête. J'ai fini par me relever, j'ai gueulé quelques ordres et avec l'aide de l'Espagnol chuis aller vers l'arrière. J'commencai à reprendre du poil de la bête (ou du moins j'essayai que les autres le voit comme tel) quand une balle m'a atteint près de l'épaule. Chienne de Vie !
C'en était trop pour une seule journée alors j'ai décidé d'aller à l'infirmerie. Tout seul, sur mes deux jambes, comme un homme ! Un homme qu'aurait plus qu'une couille...
Pute Borgne !
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Remi le Long- Undead-geekies-Master of the dead
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Re: Pavillon Noir, à feu et à sang! Journaux de bord
par Simon Sam 25 Déc - 7:00
Décembre 1679
12 jours avant la Naissance du Christ
J'ai embarqué sous pavillon Noir, la belle affaire ... Un cap avait déjà été franchi en tant que Corsaire, me voilà pirate ... pas bien pire si vous voulez mon avis !
L'équipage est pas mauvais, voir plutôt bon, Dieu m'en est témoin ! L'armée aurait besoin d'gars plus débrouillards comme eux, qui en revanche ont pas b'soin de l'armée du tout !
Faut dire qu'après avoir été fait prisonnier par les Français, p'is coulé par ces saletés d'Anglais, cette bande de blasphémateurs est la bienvenue. J'me voyais déjà rejoindre le Seigneur quand la Mer m'a recraché sur la plage anglaise, mais un type qui devrait r'voir sa garde-robe a pas fait l'difficile et vu qu'j'avais déjà tâter d'la vague un bout d'temps, m'a enrôlé sans trop d'questions.
L'Souffle de Dieu nous a conduit sur la route d'un marchand d'âmes. Puisse-t-il cramer en Enfer.
Les gars s'sont mis d'accord pour leur faire payer, ces hérétiques ... et on leur a mis ! Bon l'aut' qui brille a perdu la moitié d'sa bourse mais c'est toujours mieux qu'sa vie ! 'Parait que Messire et l'Breton s'sont défoulés sur les enfoirés d'en face ... grand bien leur fasse ! Moi j'ai pas pu ...
M'ont pris une oreille et une partie du nez les cons ! Rien d'bien grave m'enfin z'avaient l'air choqué que j'fasse la même au suppo de Satan Hollandais ! "Oeuil pour oeuil, dent pour dent." c'est dans le Livre ! La doctoresse m'a retapé comme il faut, l'a un don celle-là, p'is une vraie dame, pas comme les souillures de catins qu'on croise au port ...
En parlant d'ça on aperçoit la Terre à l'horizon !
Puisse le Tout Puissant guider nos voiles en bon port !
12 jours avant la Naissance du Christ
J'ai embarqué sous pavillon Noir, la belle affaire ... Un cap avait déjà été franchi en tant que Corsaire, me voilà pirate ... pas bien pire si vous voulez mon avis !
L'équipage est pas mauvais, voir plutôt bon, Dieu m'en est témoin ! L'armée aurait besoin d'gars plus débrouillards comme eux, qui en revanche ont pas b'soin de l'armée du tout !
Faut dire qu'après avoir été fait prisonnier par les Français, p'is coulé par ces saletés d'Anglais, cette bande de blasphémateurs est la bienvenue. J'me voyais déjà rejoindre le Seigneur quand la Mer m'a recraché sur la plage anglaise, mais un type qui devrait r'voir sa garde-robe a pas fait l'difficile et vu qu'j'avais déjà tâter d'la vague un bout d'temps, m'a enrôlé sans trop d'questions.
L'Souffle de Dieu nous a conduit sur la route d'un marchand d'âmes. Puisse-t-il cramer en Enfer.
Les gars s'sont mis d'accord pour leur faire payer, ces hérétiques ... et on leur a mis ! Bon l'aut' qui brille a perdu la moitié d'sa bourse mais c'est toujours mieux qu'sa vie ! 'Parait que Messire et l'Breton s'sont défoulés sur les enfoirés d'en face ... grand bien leur fasse ! Moi j'ai pas pu ...
M'ont pris une oreille et une partie du nez les cons ! Rien d'bien grave m'enfin z'avaient l'air choqué que j'fasse la même au suppo de Satan Hollandais ! "Oeuil pour oeuil, dent pour dent." c'est dans le Livre ! La doctoresse m'a retapé comme il faut, l'a un don celle-là, p'is une vraie dame, pas comme les souillures de catins qu'on croise au port ...
En parlant d'ça on aperçoit la Terre à l'horizon !
Puisse le Tout Puissant guider nos voiles en bon port !
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La chance [part 1]
par Celebril Ven 13 Sep - 23:22
13 Juin 1738
Déjà six mois qu'on a changé de capitaine et de pavillon. Juste le temps d'arriver à Tortuga, de s'équiper et de repartir.
Cette escale sera notre nouveau départ. La Glorieuse est devenu l'Insoumise, le capitaine a remplacé l'ancien, ce sale chien de la couronne et nous voilà devenu des gentlemen libres bordel!
Le changement a été plutôt doux, le Chirurgien a fait un jolie trou dans l'ancien cap'taine qui nous envoyait une fois de plus au casse pipe et une balle bien placée dans la tête du second qui allait le venger... Cette balle c'est la chance qui l'a envoyé pour le capitaine, le vrai... Et la chance, c'est moi!
Ce gars là vaut le coup qu'on le surveille, qu'on le protège, il pourra nous amener loin.
Après Tortuga nous sommes partis les poches vides mais la cale pleine, nous allons pouvoir faire route un peu de temps pour trouver des fils de catin à envoyer par le fond.
17 Juin 1738
Après seulement quelques jours nous avons vu des navires faire feu.
Nous avons foncé, nous pourrions facilement aider un camarade libre ou profiter d'un bateau déjà amoché.
18 Juin 1738
Ils nous ont dupé les fils de salauds, deux navires: un brigantin en guise d'appât et une flûte équipée pour chasser du gentleman.
Nous avons récupéré le bosco du navire qui a coulé, qui traînait avec quelques hommes sur les restes de son bateau, il nous a parlé d'un endroit qui aurait besoin qu'on le dépouille de son argent mais pour ça il faudrait récupérer le capitaine. Tant pis, on les auras ces fils de chien!
Ça a été dure, j'ai pris dans la jambe, deux fois. Résultat j'ai failli passer à la mer et j'ai la jambe toute raide... Et on m'appelle La chance?
Bon, on leur a mis une sacrée dérouillée aux canons, le brigantin ne peut plus nous suivre et nous voilà paré à l'abordage de la flûte, je rejoins mon poste bien décidé à venger ma jambe qui a une sale couleur et qui ne veux plus bouger...
Les anglais sont bien bons, ils préfèrent nous afficher les cibles, tout les officiers supérieurs sont en tenue sur la dunette. Je vise celui qui a le plus gros chapeau et le plus bel uniforme et voilà, son dos s'est tordu dans un drôle de sens, comme si il voulait toucher sa tête avec ses pieds mais par le coté, bref pas très appétissant tout ça.
J'ai peur pour ma jambe, elle est moche... Pis je ne peux plus la bouger... Mais il fait beau aujourd'hui, les rares nuages ont une jolie couleur avec le soleil ça me calme. J'aime bien mon poste, c'est tranquille et on a le temps de penser pendant qu'on recharge.
L'abordage s'est bien passé. Les gars n'ont pas fait dans la dentelle et on en a perdu pas mal. Quelle saloperie la mitraille... Quand c'est n'est pas nous qui l'utilisons.
Le capitaine s'est battu comme un diable, faisant mouche à tout les coups, jouant et riant avec la mort.
Le nobliaux anglais qui m'a aidé à remonter à bord aussi à fait sa part, il a défié le second en duel avec son épée bizarre et il l'a bien saigné. Tant pis, il ne sera pas ma deuxième cible. Il s'appelle Lloyd au fait, il est bien ce gars.
Nous avons récupéré le capitaine de l'ancien bateau et nous lui avons donné la flûte comme ça on va pouvoir attaquer le fort, il est mal défendu il parait.
Pis maintenant on a un chirurgien, il est plutôt bon, il a presque sauvé ma jambe j'crois, presque... Elle sera juste raide... Tout le temps... Vlà le temps de boire maintenant. Et beaucoup à la santé de cette saleté de jambe.
Déjà six mois qu'on a changé de capitaine et de pavillon. Juste le temps d'arriver à Tortuga, de s'équiper et de repartir.
Cette escale sera notre nouveau départ. La Glorieuse est devenu l'Insoumise, le capitaine a remplacé l'ancien, ce sale chien de la couronne et nous voilà devenu des gentlemen libres bordel!
Le changement a été plutôt doux, le Chirurgien a fait un jolie trou dans l'ancien cap'taine qui nous envoyait une fois de plus au casse pipe et une balle bien placée dans la tête du second qui allait le venger... Cette balle c'est la chance qui l'a envoyé pour le capitaine, le vrai... Et la chance, c'est moi!
Ce gars là vaut le coup qu'on le surveille, qu'on le protège, il pourra nous amener loin.
Après Tortuga nous sommes partis les poches vides mais la cale pleine, nous allons pouvoir faire route un peu de temps pour trouver des fils de catin à envoyer par le fond.
17 Juin 1738
Après seulement quelques jours nous avons vu des navires faire feu.
Nous avons foncé, nous pourrions facilement aider un camarade libre ou profiter d'un bateau déjà amoché.
18 Juin 1738
Ils nous ont dupé les fils de salauds, deux navires: un brigantin en guise d'appât et une flûte équipée pour chasser du gentleman.
Nous avons récupéré le bosco du navire qui a coulé, qui traînait avec quelques hommes sur les restes de son bateau, il nous a parlé d'un endroit qui aurait besoin qu'on le dépouille de son argent mais pour ça il faudrait récupérer le capitaine. Tant pis, on les auras ces fils de chien!
Ça a été dure, j'ai pris dans la jambe, deux fois. Résultat j'ai failli passer à la mer et j'ai la jambe toute raide... Et on m'appelle La chance?
Bon, on leur a mis une sacrée dérouillée aux canons, le brigantin ne peut plus nous suivre et nous voilà paré à l'abordage de la flûte, je rejoins mon poste bien décidé à venger ma jambe qui a une sale couleur et qui ne veux plus bouger...
Les anglais sont bien bons, ils préfèrent nous afficher les cibles, tout les officiers supérieurs sont en tenue sur la dunette. Je vise celui qui a le plus gros chapeau et le plus bel uniforme et voilà, son dos s'est tordu dans un drôle de sens, comme si il voulait toucher sa tête avec ses pieds mais par le coté, bref pas très appétissant tout ça.
J'ai peur pour ma jambe, elle est moche... Pis je ne peux plus la bouger... Mais il fait beau aujourd'hui, les rares nuages ont une jolie couleur avec le soleil ça me calme. J'aime bien mon poste, c'est tranquille et on a le temps de penser pendant qu'on recharge.
L'abordage s'est bien passé. Les gars n'ont pas fait dans la dentelle et on en a perdu pas mal. Quelle saloperie la mitraille... Quand c'est n'est pas nous qui l'utilisons.
Le capitaine s'est battu comme un diable, faisant mouche à tout les coups, jouant et riant avec la mort.
Le nobliaux anglais qui m'a aidé à remonter à bord aussi à fait sa part, il a défié le second en duel avec son épée bizarre et il l'a bien saigné. Tant pis, il ne sera pas ma deuxième cible. Il s'appelle Lloyd au fait, il est bien ce gars.
Nous avons récupéré le capitaine de l'ancien bateau et nous lui avons donné la flûte comme ça on va pouvoir attaquer le fort, il est mal défendu il parait.
Pis maintenant on a un chirurgien, il est plutôt bon, il a presque sauvé ma jambe j'crois, presque... Elle sera juste raide... Tout le temps... Vlà le temps de boire maintenant. Et beaucoup à la santé de cette saleté de jambe.
Dernière édition par Lstyle le Sam 14 Sep - 2:34, édité 3 fois (Raison : Fautes, coquilles etc.)
Celebril- Master-Geekies
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Date d'inscription : 09/04/2011
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